Meilleure analyse de l'intervention contre l'État islamique

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Les croisades du XXI siècle

L’État islamique est une organisation criminelle, sévissant principalement en Syrie et en Irak, ayant comme but d’assimiler la population sous son emprise à l’Islam sunnite. Malheureusement, selon ce groupe d’extrémiste tous les moyens sont bons pour y arriver. Ils n’hésitent pas à tuer les individus qui n’adhèrent pas à leur religion ou qui vivent d’une façon différente à la leur. Par exemple, l’usage de drogue est puni par l’exécution.

L’organisation commettant en ce moment même ce qui pourrait s’apparenter à un génocide ne passe pas inaperçu. Leurs actes et leurs propos déroutant ne font pas l’unanimité et plusieurs pays travaillent en ce moment même avec le gouvernement irakien pour les arrêter. En effet, plus de 40 pays se sont alliés pour créer ce qu’on appelle la coalition contre l’État islamique. Cette coalition a pour but de soutenir militairement et financièrement les pays oppressés. Par exemple, les États-Unis, la France, le Royaume-Unis, le Canada, l’Australie, l’Allemagne et l’Angleterre s’occupent du support militaire tandis que l’Arabie Saoudite, la Turquie, le Koweit et l’Australie s’occupent de l’aide humanitaire (en offrant refuge à des réfugiés politiques ou en effectuant des dons). L'Iran prône également une coopération internationale contre l’État islamique mais n’a pas été invité à faire partie de la coalition. Les acteurs principaux de ce conflit sont donc, d’une part, l’État islamique, et d’autre part, le gouvernement irakien et syrien et la coalition contre l’État islamique. Malheureusement, plusieurs autres groupes sont impliqués indirectement dans le conflit comme les pays musulmans ou voisins de l’Irak et de la Syrie qui sont des terrains fertiles pour les djihadiste et qui pourraient éventuellement être touchés par ce conflit. La population des deux pays oppressés est aussi impliquée bien malgré elle.

Le conflit entre les djihadistes et les Américains perdure depuis longtemps. Toutefois, l’État islamique est une organisation ayant vu le jour récemment (en 2013). Celle-ci a été créée par d’anciens moudjahidines (terroristes) Afghans qui ont mis en place une franchise d’Al-Qaida. Cette franchise s’est dissociée de la branche mère et est devenue l’État islamique. La principale différence entre les deux organisations est que l’État islamique s’attaque à des ennemis proches (chrétiens, chiites vivant sur le même territoire qu’eux) tandis qu’Al-Qaida s’attaque à des ennemis plus lointains (États-Unis, Israël). C’est donc seulement depuis 2013 que le conflit avec l’État islamique perdure.

La stratégie du groupe criminel pour remporter le conflit, pour assimiler les «indignes», est d’utiliser la force et de faire régner un régime de terreur. En effet, en tuant les individus n’adhérant pas aux règles extrémistes mises en place, les individus tenant à leur vie se tiennent droits. De plus, puisque les criminels sont mieux armés que l’armée, ceux-ci détiennent le pouvoir. L’arsenal imposant que possède l’État Islamique est dû à ses multiples formes de financement. En effet, l’aide financière de riches donateurs, le détournement de pétrole, la contrebande d’armes et de carburant, les prises d’otages ainsi que plusieurs autres manières illicites de s’enrichir permettent aux rebelles de s’armer convenablement.

De leur côté, la stratégie du gouvernement irakien et de la coalition contre l’État Islamique pour stopper le massacre est de s’armer lourdement. En envoyant des armes et en formant des soldats irakiens et syriens, ceux-ci peuvent mieux rivaliser avec les criminels qui sont très bien équipés. De plus, la coalition peut attaquer l’État islamique avec des frappes aériennes qui font gagner du terrain aux soldats irakiens sur place. C’est exactement la décision qu’a prise le gouvernement américain lundi le 15 septembre 2014 en bombardant certains points stratégiques occupés par les rebelles. Le gouvernement a pris cette décision pour protéger la population vivant au Nord de l’Irak mais également pour préserver les intérêts (les investissements) des américains. Malheureusement, les frappes aériennes peuvent coûter la vie à de nombreux innocents. C’est pourquoi certains haut placés dans l’armée américaine affirment que des soldats américains devraient être déployés sur place. Pour l’instant, l’opinion d’Obama ne va pas dans ce sens mais il est tout de même envisageable qu’il finisse par changer d’avis. La stratégie de la coalition est encore sujette à changement.

Finalement, certains pensent qu’une approche plus compréhensive incluant la diplomatie devrait être valorisée pour régler le conflit. C’est ce qu’a affirmé le General Dempsey lors d’une conférence de presse : «That may be a tough pill to swallow. But there is no military solution.»

[Geneviève Loiselle]

Depuis la remise de notre analyse politique, il y a 2 semaines, on peut dire que la menace que représentait l’état islamique est encore très grande. Barack Obama a même admis avoir sous-estimé la puissance des djihadistes. La coalition menée par les États-Unis continue à faire des frappes en Syrie et en Irak. Cependant, plusieurs personnes trouvent que les attaques militaires n’aident pas vraiment. Obama quant à lui pense que l'intervention militaire internationale en cours dans les deux pays peut améliorer la situation, mais que la Syrie et l'Irak devraient trouver une solution politique pour pouvoir mettre un terme a tout ça. Le 27 septembre 2014, Le Front Al-Nosra, une branche syrienne d'Al-Qaïda a annoncé que des représailles se préparaient pour tous les pays faisants partie de la coalition menée par Washington. De plus, le patrimoine irakien est devenu en danger étant donné que l’état islamique se livre à la destruction de sites historiques chrétiens, juifs ou bien musulmans, puis revend les objets trouvés. C’est ce qui leur permet en partie de financer leur organisation. Le 30 septembre 2014, 70 enfants qui avaient été capturés en mai dernier par l’état islamique furent libérés. Quant au Canada, la mission des 69 soldats en Irak doit prendre fin le 30 octobre, mais le gouvernement du Canada s’engage à tenir un vote à la chambre des communes afin de décider s’il est prêt a déployer plus de soldats, afin de conseiller les troupes irakiennes.Finalement, j’aimerais préciser que l’état islamique ne constitue en rien un état, puisqu’il rejette la notion de frontière et se passe entièrement d’institutions.


Bibliographie:
BEROUTH, liban, La presse «L'EI relâche 70 élèves kurdes enlevés en Syrie » 30 septembre 2014.

LE MONDE FR AVEC AFP, Le monde fr «Obama admet avoir sous-estimé la menace que représentait l'Etat islamique» 28 septembre 2014-09-30

LATREILLE, Christian, ici radio- Canada «Obama appelle le monde à lutter contre l'État islamique»

[Emma Chouinard-Cintrao]

Une armée voilant la paix

Malgré le temps qui passe, on ne cesse d’entendre parler de l’État islamique. En effet, ce califat (régime politique dirigé par un homme se disant successeur de Mahomet) n’est pas en voie d’arrêter ses conquêtes territoriales, les meurtres d’innocents n’adhérant pas à leur religion et les menaces envers les pays de la coalition à leur opposition. Nous pouvons facilement affirmer que leurs actions deviennent de plus en plus puissantes. En plus, du nombre phénoménal de personnes vivant sous leur domination (cinq à 8 millions), ils sont aussi considérés comme l’organisation terroriste possédant le plus de capitaux, au monde.

Même si ce groupe assoiffé de pouvoir poursuit son effrayante ascension, l’Occident tarde à agir de façon imposante. Le 23 septembre, les premières frappes américaines ont surgit sur des positions précises où une concentration du groupe terroriste s’y trouvait. La Syrie et l’Irak voyant la situation dépérir n’ont eu de choix que la mobilisation d’une armée interne. En effet, des Unités de protection populaire (YPG) ont été engagés. Cette armée constituée de 40 000 combattants, dont le tiers sont des femmes, n’a que pour seul but d’éradiquer le groupe parasitaire de leurs nations. En plus de cette armée déterminée, le Canada penserait à envoyer des soldats canadiens et à participer aux frappes aériennes. De plus, depuis le lundi 29 septembre 2014, la Turquie fera officiellement de la coalition contre l’État islamique. Les États-Unis baigne encore dans le même dilemme (mobiliser ou non des soldats américains), mais Obama hésite toujours à se prononcer à ce sujet, craignant de faire un pas derrière comme au temps de la guerre contre Saddam Hussein. La situation changeant de jours et jours est loin d’être résolue. Espérons que cette problématique évoluera positivement et rapidement.

Bibliographie :
HACHEY, Isabelle. «Dans les griffes des fous d’Allah», La Presse, 26 septembre 2014, p.2.

[ANONYME]. «Nouvelles frappes contre l’ÉI en Syrie», Le Devoir, 29 septembre 2014.

[ANONYME]. «Obama admet avoir sous-estimé la menace que représentait l'Etat islamique», Le Monde, 28 septembre 2014.

HACHEY, Isabelle. «Des femmes au front», La Presse, 29 septembre 2014, p.2.

[Britany Dos Santos]

Depuis la rédaction de notre analyse, l’état-Islamique continu tout de même à terroriser l’Irak et la Syrie. Les États-Unis ont abordé un nouveau combat contre l'organisation de l'état islamique, attaquant pour la première fois les combattants en Syrie.

En effet, les armés américaines ont même visé le groupe Khorassan (groupe islamiste), qui selon le pentagone, préparait une attaque contre les États-Unis et l'Europe. Le président américain, était fier de la participation de plusieurs pays arabes comme, l'Arabie saoudite, la Jordanie, le Qatar, le Bahreïn et les Émirats arabes unis, suite aux premières frappes aériennes contre l'ÉI en Syrie. L'objectif de la coalition est de détruire la source de financement des djihadistes, qui vendent du pétrole en contrebande aux pays voisins. Selon le pentagone, ces installations pétrolières leur rapportent deux millions de dollars! Selon un article du courrier international, le 22 septembre dernier, des centaines de Kurdes ont quittés la Turquie, pour se rendre en Syrie afin de défendre Kobané (ville Kurde) contre l'État Islamique. Il y a plusieurs jours des milliers de Syriens Kurdes fuyant l'État Islamique en Syrie, se sont réfugiés en Turquie. Ce revirement du trafic transfrontalier, a eu pour résultat, environ 130 000 personnes ayant franchi la frontière.

Bref, L'Afghanistan a signé, le 30 septembre dernier, un accord de sécurité avec les États-Unis et l'Otan qui permet à des soldats étrangers de demeurer dans le pays jusqu'en 2015. Cela prouve que le président Afghan veut se réconcilier avec Washington. Il ne reste plus qu’à espérer une petite amélioration.

[maeva ouazzani]

L’État islamique fait beaucoup de dommages ces temps si, mais ce n’est pas l’année dernière que tout cela à commencé. L’État islamique a été fondé bien avant l’année 2013. Ce n’est qu’en 2013, que les relations entre Al Qaida et l’État islamique ont dégénéré et les deux groupes sont devenus plus indépendants l’un de l’autre. L’État islamique utilise la force pour réinstaurer un Calife, qui est un régime politique basé sur la religion islamique, mais la situation est en train de changer.

Depuis l’annonce des États-Unis par rapport aux frappes aériennes, plusieurs pays se sont rejoints au mouvement. La France a été le premier pays à rejoindre les États-Unis par rapport aux frappes aériennes. Deux avions militaires français ont survolé le nord de l’Irak le 19 septembre 2014 pour bombarder un dépôt de l’État islamique. Par la suite, le 30 septembre la Grande-Bretagne a aussi effectué ses premières frappes aériennes depuis l’adoption de la motion. Pour finir, Ottawa donnera d’ici le 5 octobre la réponse d’un éventuel renforcement en Irak, mais nous pouvons déjà retrouver là-bas une dizaine de soldats pour appuyer le gouvernement irakien.  

Bibliographie
AGENCE FRANCE-PRESSE.<La Grande-Bretagne a mené ses premières frappes aériennes en Irak>, La presse, 30 septembre

(Anonyme). <Premier bombardement français contre l'État islamique en Irak>,Le monde, 19 septembre

(Anonyme). <Lutte contre l'État islamique: Ottawa évalue toujours ses options>, Radio-Canada, 30 septembre

[Florence St-Pierre]

Le rétablissement du califat (régime politique dirigé par un homme se disant successeur de Mahomet) a entraîné de nombreux conflits au sein de l’État islamique, de l’Irak et de la Syrie.  Ceux-ci se poursuivent de plus belle à la suite des premiers bombardements du 23 septembre effectués par  la coalition anti-djihadistes, menée par les États-Unis.  Ces frappes aériennes ont pour but de faire gagner un maximum de territoire aux soldats irakiens qui se trouvent sur place.  De plus, les pays membre souhaitent affaiblir les moyens de financement de l’État islamique, principalement la contrebande de pétrole vers la Turquie, qui leur rapporte environ 2 millions de dollars par jour.  

Par conséquent, l’État islamique ne se montre pas affaiblit par ces attaques et Barack Obama admet avoir sous-estimé la puissance de ce dernier, en plus d’avoir surestimé la capacité de l’armée irakienne.  Heureusement, à l’aide des raids aériens, les forces armées kurdes ont réussi à reprendre le contrôle de Rabia.  Cette ville frontalière située dans le nord de l’Irak est aussi un point de passage stratégique avec la Syrie.  Bref, le président Obama est encore incertain par rapport à la bonne décision à prendre concernant l’intervention militaire, cependant, il mentionne que cela pourrait peut-être améliorer la situation.  Il faut donc garder espoir que la paix se rétablisse et ce, le plus tôt possible.

Bibliographie :
BARTHE, Benjamin.  «L’État islamique résiste aux frappes de la coalition», Le Monde, 30 septembre 2014.

BERTHEMET, Tanguy.  «La coalition frappe en Syrie et en Irak, Al-Qaïda menace», Le figaro, 28 septembre 2014.

[ANONYME].  «Progression des forces kurdes dans le nord de l’Irak», Radio-Canada, 30 septembre 2014.

[Limartine]

Deux jours après le début des frappes aériennes en Syrie menées par les États-Unis et ses alliés arabes, le président américain Barack Obama, dans un discours à l’Assemblée Nationale de l’ONU, appelle le monde à s’unir pour contrer l’EI. Quelques minutes après, ce mouvement annonce la décapitation d’un français Hervé Gourdel, en guise de représailles. Les deux jours qui suivirent, emmenèrent le Danemark, le Royaume-Uni et la Belgique à rejoindre les rangs de la coalition. La France est d’autant plus décidée à éradiquer ce mouvement suite à la décapitation de leur compatriote. L’Orient se rallie aussi à la cause, l’Arabie Saoudite, les Émirats Arabes, la Bahreïn, la Jordanie ont confirmé leur participation aux raids aériens sauf le Qatar qui est d’ailleurs soupçonné de soutenir les radicaux islamiques. Aujourd’hui, une cinquantaine de pays participent d’une manière ou d’une autre à cette coalition contre l’État islamique.
Étant peu probable que les frappes aériennes seules viennent à bout de ce mouvement, elles servent néanmoins à affaiblir l’État Islamique. En effet, les bombardements ont visé une douzaine de raffineries et des installations pétrolières dans la région de Deir el-Zour en Syrie, qui rapportent à  l’État islamique deux millions de dollars américains par jour. Ces attaques visent à mettre un terme aux ventes de pétrole sur le marché noir qui sont la principale source de revenus de l’EI. Entre autre, des mesures sévères ont été adoptées par le conseil de sécurité de l’ONU afin d’empêcher les djihadistes étrangers d’aller gonfler les rangs de l’EI. La coalition internationale, ne voulant pas intervenir au sol,  livre des équipements militaires aux Kurdes au nord de l’Irak. Soutenus par les raids aériens, ils ont réussi à reprendre le contrôle de la ville frontalière de Rabia qui est un important passage pour les djihadistes entre le Syrie et l’Irak mais l’EI a encore le contrôle de la frontière entre le Syrie et la Turquie. Quant au canada, interpellé à faire partie de la coalition, l’engagement militaire est encore un sujet de débat à la chambre des communes.

[Farah Kabakibi]

Pour lutter contre l’État islamique, le Royaume-Unis, Le Danemark, et la Belgique rejoignent à leur tour, la coalition. La participation du Royaume-Unis à la lutte contre le groupe armé État islamique a finalement été autorisé par le parlementaire britannique le 26 septembre 2014. Le Danemark, pour sa part compte lui aussi participer à  la lutte en envoyant sept avions de chasses F-16 ainsi que la Belgique, en déployant des forces militaires. Aussi, de nombreuses frappes aériennes menées par la coalition contre l’État islamique ont frappées sept cibles en Syrie et trois raids ont été menés en Irak. La Turquie aussi compte rejoindre l’alliance anti-djihadistes.

Les 40 pays qui se sont alliés pour former la coalition ont chacun leur rôle pour lutter contre l’État islamique. Ce n’est non seulement le Koweït, l’Arabie saoudite, l’Australie et la Turquie qui fournissent l’aide militaire mais aussi la France. En effet, le président de la France, François hollande viens en aide aux réfugiés irakiens qui aimeraient quitter le pays en établissant un « pont humanitaire ». Le canada aussi participe à cette lutte grâce a une mission anti-terroriste qui consiste principalement à envoyer une soixantaine de soldats dans le nord de l’Irak pour appuyer les forces locales. L’intérêt premier de cette coalition est que l’État islamique représente une menace pour toute la communauté internationale et non seulement pour l’Irak.

[Émilie Robert-Leblanc]

Tout d’abord, afin de bien faire comprendre aux citoyens qu’il est totalement injustifiable de s’allier à des groupes extrémistes, le conseil de sécurité de l’ONU a adopté à l’unanimité une résolution qui oblige les États d’empêcher leurs citoyens à s’enrôler dans de tels groupes sous peine de sanctions. De plus, certains pays se sont ajoutés comme membres de la coalition pour ce qui est des frappes aériennes, on parle notamment de la France, du Royaume-Uni, du Danemark, du petit royaume de Bahreïn ainsi que le Qatar et éventuellement la Turquie pourrait prendre la décision de se joindre à la coalition. Les djihadistes ont récemment replié leurs forces sur Aïn al-Arab (une ville kurde) en y lançant une quinzaine de roquettes et laissant ainsi un exode massif de la population syrienne, on parle ici de plus de 160 000 kurdes, allant se réfugier en territoire turque. Depuis, au moins trois obus de mortier qui provenaient de la zone de combat ont atteints la Turquie, ce qui incite grandement la Turquie à devenir membre de la coalition. Par la suite, le gouvernement canadien n’a toujours pas pris de décision par rapport à l’usage des Forces canadiennes (militaires), on devrait recevoir une affirmation d’ici le 5 octobre, mais encore là rien n’a été déclaré. Finalement, les solutions qui devraient être envisagées pour renforcer la participation du Canada à la coalition sont en effet selon Terry Liston (le major-général à la retraite des Forces canadiennes) d’envoyer des soldats canadiens sur le terrain, de fournir des avions des Forces canadiennes, d’avoir un soutien logistique ainsi qu’un bon approvisionnement en munitions.

Par Émilie Robert-Leblanc
Bibliographie :
• BEAUCHAMPS, Jacques. « Lutte contre l’État islamique : Ottawa évalue toujours ses opinions », Radio-Canada, publié le 30 septembre 2014, [En ligne], http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2014/09/30/003- canada-etat- islamique- coalition-communes.shtml (consulté le 30 septembre 2014).

• [Anonyme]. « La lutte contre le groupe État islamique s’intensifie », Le Devoir, publié le 25 septembre 2014, [En ligne],http://www.ledevoir.com/international/actualites-/419441/la-lutte- contre-le-groupe-etat-islamique-s- intensifie (consulté le 29 septembre 2014).


• [Anonyme]. « Quels pays participent aux raids aériens contre l’État islamique? », Le Monde.fr., publié le 27 septembre 2014, [En ligne], http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2014/09/27/quels-pays- participent-aux-raids-aeriens-contre-l-etat-islamique_4495327_3218.html (consulté le 29 septembre 2014).


• [Anonyme]. « L’État islamique aux portes de la ville kurde d’Aïn Al-Arab », Libération Monde,  publié le 30 septembre 2014, [En ligne],   http://www.liberation.fr/monde/2014/09/30/l-etat-islamique-aux-                          portes-de-la-ville-kurde-d-ain-al-arab_1111442 (consulté le 30 septembre 2014).

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