Meilleure analyse de l'intervention contre l'État islamique

[Admin]

Sombrons-nous dans l’État islamique?

Au sein de pays déjà politiquement déchirés, la terreur se fait de plus en plus oppressante depuis un certain temps. En effet, le groupe terroriste portant le nom d’État Islamique propage la peur et la consternation dans certains pays du Moyen-Orient. Étant en marche depuis 2003, mais ayant pris une forme beaucoup plus concrète et drastique au moment où Abou Bakr al-Baghdadi pris le contrôle du groupe en 2011, cette organisation est dorénavant considérée comme une incontrôlable menace internationale.

Principalement basé en Syrie et en Irak, ce clan regroupant majoritairement des sunnites extrémistes, considérant le coran comme une œuvre suprême auquel on doit se fier en tout temps. Ce dernier a pour objectif de reprendre possession de territoires irakiens, incluant aussi le Liban, la Syrie, la Palestine et Israël, lesquels selon eux leurs reviennent de droit. De plus, l’État Islamique aurait comme intérêt de mettre en place un régime religieux aussi appelé califat, dans lequel ils mettent de l’avant le code moral musulman de façon démesuré et excessive, de manière à ce que l’état soit exclusivement encadré et contrôlé par les principes stricts imposés dans la Charia. Cette dernière comportant différentes doctrines religieuses, sociales ou encore culturelles, régirait la vie à l’intérieur de l’état lui-même. Que ce soit par rapport à des propos homophobes et sexistes ou encore diverses restrictions abusives pour ce qui est des contacts physiques ou de l’alimentation, l’État Islamique passe d’un extrême à un autre en voulant suivre ce code à la lettre. Par ailleurs, toutes violations de ces principes dits de bases imposés par le régime, mènent à d’horribles châtiments injustement donnés à la population Chiite.

Ainsi peut-on dire qu’en voulant que tous se plient à leurs demandes sans riposter, cela conduit à la décimation de plusieurs villages, chose pouvant même évoluer à plus grande échelle vers un véritable génocide. Notamment, ce groupe en quête de pouvoir à l’influence grandissante, compte déjà plus de 50 000 membres et supporteurs à son actif. Certains adeptes du groupe vivant aux quatre coins du monde, en viennent même à quitter leur pays d’origine et leur famille afin de rejoindre les rangs de l’État islamique. Ceux-ci ont alors la possibilité de revenir quand ils le souhaitent dans leur ville natale, chose qui en effraie plus qu’un. D’autres malheureusement, la majorité journalistes ou travailleurs humanitaires sont détenues en otage par l’organisation terroriste depuis plusieurs semaines. Il faut donc réagir selon plusieurs, l’alliance ayant pris forme sous peu, regroupant au total environ une quarantaine de pays dont le Canada se serait engagée afin de former une coalition et pourrait être dans la bonne voie. Malheureusement, leur rôles et objectifs restent flous dans l’ensemble d’après un article du journal Le Monde, même si certains pays, comme la France qui a affirmé qu’elle n’hésiterait pas à envahir militairement l’Irak, ont démontré leur appui si nécessaire.

Du côté des États-Unis, rien ne va plus. Ayant refusé de s’allier à Bachar al-Assad, contenu des conflits déjà existants entre le président syrien et pratiquement la totalité de sa population ainsi que des tensions régnant entre les deux dirigeants, il se met un autre ennemie encore plus à dos. Durant son discours annonçant une fois de plus l’implication des États-Unis en Irak, il fit part du renforcement de l’implication militaire américaine face à l’État islamique. Abordant aussi en quoi consistait son plan d’action, il déclara mener «une campagne systématique de raids aériens contre ces terroristes» et non une vraie guerre comme nous avons vécu auparavant à plusieurs reprises. On se questionne, Bombarder des villes regorgeant de civils innocents est-elle réellement la solution que nous avons tant espérée? Pour plusieurs, la meilleure des stratégies résulterait dans une alliance religieuse avec les chiites de Téhéran et de Damas afin de gagner du temps et de faire reculer l’État islamique. Néanmoins, toutes stratégies comportent des inconvénients et avec l’instabilité actuelle que nous vivons avec ce conflit, une entente comme celle-ci peut s’avérer à deux tranchants.

En bref, les circonstances nous dépassent, nous devons à tout prix trouver un terrain d’entente et prendre des décisions consciencieuses, avant que ce conflit devienne incontrôlable.

[Frédérique.mayer]

Contre toute attente, l’armée irakienne ayant pour devoir de repousser l’État islamique de son côté n’a pas su tenir le coup. C’est donc depuis plusieurs jours que les bombardements des États-Unis, face aux djihadistes de l'État islamique se font de plus en plus persistants en Irak et sa présence en territoire syrien commence à se manifester. Soutenus par un groupe de cinq pays arabes, principalement du Golfe, qui mènent les frappes en Syrie et devancé par la France qui, quelques jours auparavant a décidée de renforcer ses mesures de sécurité et de frapper en Irak, c’est maintenant au tour du Royaume-Uni, de la Belgique et du Danemark de collaborer aux raids aériens. Le Canada a même affirmé qu’il ne resterait pas spectateur face au conflit.
Autant plus qu’une ville Kurde, Kobané, à l’emplacement déterminant, qui résistait jusqu’à présent est tombé son l’emprise de l’État islamique le 24 septembre dernier, quelques dizaines de milliers d’habitants qui y résidaient, dont plusieurs centaines combattaient, ont du s’enfuir vers la Turquie. Par ailleurs, à la suite des premières frappes en Syrie, le Front al-Nosra, un groupe terroriste syrien rattaché à al-Qaida, menace les occidentaux en général et la coalition elle-même en affirmant que nous allons devoir « payer le prix cher» pour les dommages que nos dirigeants causent dernièrement. Suite à cette déclaration et aux récentes actions de l’État islamique et du Front al-Nosra, Obama est impératif, il a sous-estimé l’ampleur de la situation, en plus d’ajouter qu’aucune solution purement militaire de pourra régler pour de bon ce conflit. Il ne reste qu’à savoir si la fin des tensions communautaires en Irak et de la guerre civile en Syrie pourront alléger la situation et permettre à aux sunnites extrémistes de l’État islamique de prendre du recul face aux récents événements.

[Marouka Lapierre]

L’État Islamique en colère contre l’Occident plus que jamais

L'État Islamique profère une menace qui peut nous inquiéter d'avantage, nous occidentaux puisque maintenant il projette de tuer des Canadiens, fournissant comme raison dans un vidéo venant probablement d'Abou Mouhammad Al-Adnani que les musulmans ont le devoir (et n'ont qu'à se fier à Allah pour les guider) de tuer de la manière dont ils entendent quiconque a un lien avec un pays qui est contre l'État Islamique, que ce soit les forces de l’ordre, les journalistes ou même les citoyens. L'ÉI s'en prend désormais non seulement au Canada, mais également à d'autres pays impliqués tel que l'Australie.
Ce n’est pas tout! Une des raisons qui a pu mettre l’État Islamique encore plus en colère contre les pays occidentaux sont les frappes aériennes qu’ont envoyés les États-Unis sur quatre des raffineries que contrôlait le groupe terroriste, raffineries de pétrole qui constituaient leur moyen de financement. Elles étaient situées à Rakka, ville en Syrie. Il y a quelques jours, soit le 27 Septembre 2014, d’autres frappes ont été envoyées sur des raffineries (7 en Syrie et 3 en Irak) par plusieurs pays cette fois, dont les États-Unis, la Jordanie, l’Arabie Saoudite ainsi que les Émirats arabes.

[201460841]

Très belle analyse cher élève. J'ai cependant quelques petits ajouts à faire sur les informations de ton analyse. Tu as omis de mentionner que depuis trois mois, l'État islamique constitué de millier d'extrémistes venus de soixante-quatorze pays, ne cesse de semer la terreur sur de larges pans de territoires au nord de Badgad. Un groupe de djihadistes extrémistes rejetés par Al-Qaïda en février 2014 fait également parti des principaux acteurs de ce conflit. Ce mouvement terroriste recrute ses membres partout dans le monde et compte entre vingt milles et trente-et-un milles combattant. De plus, la situation politique actuelle a évidemment pris de l'ampleur ces derniers mois. Au printemps 2014, avec le changement de gouvernement irakien, l'offensive de l'État Islamique a monté d'un cran créant une crise politique grave. L'approche de nouvelle vision politique que s'est donné le nouveau gouvernement irakien aurait motivé et influencé les djihadistes à se rebeller en utilisant la violence contre l'humanité.

J'aimerais rajouter que sur presque toute la longueur de la ligne de front du village sunnite de Moula Abdoula, on voit s'agiter des drapeaux noirs des extrémistes de l'État Islamique. Des postes d'observation scrutent le village alors que les soldats du brigadier Bapir Cheikh Wassani on dans leur mires les extrémistes. Aussi, en février 2014, le Service canadien de renseignement et de sécurité déclarait que cent trente Canadiens auraient participé à des activités terroristes à l'étranger. Cela rejoint la Loi antiterroriste adoptée en 2013 qui mentionne une peine d'emprisonnement de quatorze ans pour les Canadiens coupables de vouloir se joindre à un organisation à l'étranger. De plus,  les djihadistes justifient l'exécution de leurs otages comme une mesure de représailles aux frappes aériennes menées depuis la mi-août par les États-Unis.

 

[magiebblouin]

Les mesures pris par les parties

Depuis la rédaction de ce texte, qui résume très bien les conflits internationaux avec l’état islamique, il a pu se passer bien des évènements. On peut se poser les questions tel que : quels sont les moyens de l’état islamique pour faire plier les populations des pays convoitée par le mouvement? Que font les autres pays qui se disent prêt à aider les pays en danger? Les personnes tel que nous, nous qui sommes peut toucher que faisons-nous? Et plusieurs autre questions .Tous ces détails dans les paragraphes suivant.

Dans l’article écrit par Marie-Ève Bédard, dans les nouvelles Radio-Canada, elle explique que même avec l’aide des États-Unis et des autres  pays, le retrait temporaire de l’état islamique importe peu, car ceux-ci reste tout de même très présent et continue à  terrifier les habitants, le groupe place des explosifs cachée un peu partout dans les villages et prend en otage des innocents, ce qui crée la crainte et le désespoir de la population sans contrôle. De plus, pour se financer, l’état islamique détruise et vendent l’histoire de l’Irak. Bref, ces peuples perd ceux qu’ils aiment et leurs anciens. Ils repartent à zéro.

De leur leurs côtés, les alliés aux pays victimes de ce conflit, comme les États-Unis, font des sorties aériennes pour aider au ravitaillement dans les villages en difficulté. Ils ont fait au moins 4 100 survols dans  les pays arables. Espérons que cela aide la population en détresse.

En ce qui concerne les générations  futurs, au Canada, plusieurs on prit des mesures pour mettre en garde les enfants qui serait ou qui pourrait être influencé par les mouvements islamique au Canada, serait-il trop excessif? Devons-nous commencer à nous inquiéter?  

Les conflits persistent tout de même, l’état islamique semble ne pas vouloir lâcher le morceau tout comme les habitants qui se défende et les pays qui aident ceux-ci. L’état islamique sème la terreur partout à travers le monde. Serons-nous les arrêter un jour?

[Sophie Loyer]

L’état islamique : une révolution?
Suite à l’analyse de mon collègue, bien des choses se sont produites. Depuis le 23 septembre bien des choses ont évolué, en effet l’État islamique a reçu des frappes aériennes de plusieurs pays. La Turquie a maintenant décidé de participer à ces frappes. Le Royaume-Unis s’y met aussi, voté a 532 voix pour et 43 voix contre, depuis le 27 septembre a la première heure les six avions de combats britanniques qui ont été envoyé dans la région pourraient procéder aux frappes. De la part des États-Unis, plus de 4 100 frappes ont été commises pour le moment.

Dans l’article "L'amalgame entre violence et islam est problématique" du courrier international, stipule que la communauté musulmane se mobilisera pour dénoncer toute les horreurs commises, dont l’assassinat d’Hervé Gourdel, au nom de l’islam. Le président de l'Union des musulmans de France s’exprime dans le quotidien espagnol «El País» en expliquant pourquoi il faut sauver le modèle d'intégration français.
La paix entre l’État islamique en Syrie et les autres pays, n’est peut-être pas prête d’arriver de sitôt, par contre des efforts ont été faits. Mardi le 30 septembre, l’Afghanistan a signé un accord de sécurité bilatéral avec les États-Unis et l’OTAN permettant à 12 500 soldats étranger de rester jusqu’en 2015 dans le pays. C’est un signe que le nouveau présidant Ashraf Ghani tente de revenir à des relations plus amicales avec Washington (États-Unis).

[Sophie Loyer]

L’état islamique : une révolution?
Suite à l’analyse de mon collègue, bien des choses se sont produites. Depuis le 23 septembre bien des choses ont évolué, en effet l’État islamique a reçu des frappes aériennes de plusieurs pays. La Turquie a maintenant décidé de participer à ces frappes. Le Royaume-Unis s’y met aussi, voté a 532 voix pour et 43 voix contre, depuis le 27 septembre a la première heure les six avions de combats britanniques qui ont été envoyé dans la région pourraient procéder aux frappes. De la part des États-Unis, plus de 4 100 frappes ont été commises pour le moment.

Dans l’article "L'amalgame entre violence et islam est problématique" du courrier international, stipule que la communauté musulmane se mobilisera pour dénoncer toute les horreurs commises, dont l’assassinat d’Hervé Gourdel, au nom de l’islam. Le président de l'Union des musulmans de France s’exprime dans le quotidien espagnol «El País» en expliquant pourquoi il faut sauver le modèle d'intégration français.
La paix entre l’État islamique en Syrie et les autres pays, n’est peut-être pas prête d’arriver de sitôt, par contre des efforts ont été faits. Mardi le 30 septembre, l’Afghanistan a signé un accord de sécurité bilatéral avec les États-Unis et l’OTAN permettant à 12 500 soldats étranger de rester jusqu’en 2015 dans le pays. C’est un signe que le nouveau présidant Ashraf Ghani tente de revenir à des relations plus amicales avec Washington (États-Unis).

[SandrineDoiron]

Depuis une semaine, l'État islamique a surpris plusieurs pays. Dimanche le 28 septembre 2014, Barack Obama admet que les États-Unis avaient sous-estimé la montée en puissance du groupe djihadiste en Syrie et n'avait pas vu venir l'écroulement de l'armée irakienne, censée se contenir dans l'État voisin. Une des plus étonnantes surprise est  probablement face au français Salim Benghalem. Le 24 septembre dernier, le département d'État américain a publié une liste de noire dans laquelle apparaissaient les noms de terroristes présumés de l'État islamique. Effectivement, plusieurs ont eu un choc lorsqu'ils ont remarqué que parmis eux, figure un français qui, en 2007, avait été condamné à onze ans de prison pour tentative de meurtre mais avait été libéré après seulement trois ans. L'homme de 33 ans est en effet soupçonné d'être l'un de bourreaux de l'EIIL. Comme nous le savons tous, les États-Unis ont commencé a bombarder la Syrie depuis une semaine mais l'EI ne donne aucun signe d'affaiblissement. Par contre, en Irak, l'entrée en action de l'aviation américaine a permis aux forces kurdes de regagner du terrain face aux djihadistes. L'État islamique n'a pas fini de nous surprendre.

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