Meilleure analyse de la situation en Ukraine

[Admin]

L’UKRAINE : UN ÉTAT ET UN TERRITOIRE DIVISÉ

Depuis près de dix mois, la crise ukrainienne fait partie de ces conflits socio-politiques qui se sont systématiquement établis sur l’actualité internationale. L’Ukraine est un pays ayant toujours été divisé entre l’Europe et la Russie en partie à cause de son histoire complexe et sa position géographique. Depuis le 21 novembre 2013, l’Ukraine est entré en conflit politique à l’intérieur même de l’état suite au refus du président Viktor Ianoukovitch de signer un accord économique avec l’union Européenne. Cet évènement a donc soulevé des manifestations qui ont laissé place à des affrontements armés présents particulièrement dans l’est du pays et à Kiev.
D’abord, les pro-européens qui sont majoritaires reflètent les intérêts du gouvernement suite au renversement du pouvoir en février dernier. Les pro-russes et les forces armées russes déployées par Vladimir Poutine tentent délibérément d’empêcher l’Ukraine de s’allier à l’Europe pour plusieurs raisons. Premièrement, il faut comprendre que l’Ukraine est un territoire très important pour la Russie qui voit en elle un élément-clé dans une future Union eurasiatique. Sans l’Ukraine qui favoriserait les rapports économiques avec l’Europe, une telle union serait indéniablement compromise. Deuxièmement, autant pour l’Europe que pour la Russie, l’Ukraine présente des ressources naturelles intéressantes et joue un rôle important dans la distribution de pétrole.
En signant l’accord d’association avec l’Ukraine, l’Union Européenne élargirait son territoire de libre-échange et verrait son influence dans l’économie mondiale augmentée ce qui représente une menace pour la Russie. Par ailleurs, si la Russie laisse l’Ukraine resserré ses liens avec l’Europe, elle craint alors que celle-ci s’allie de quelconque façon à l’OTAN ou qu’elle laisse des bases militaires étrangères s’installer sur son territoire. Ces raisons sont d’autant plus importantes si l’on considère que la Russie veut retrouver son influence à l’échelle internationale puisqu’elle a à la fin de la guerre froide subit une humiliation qui a eu des impacts néfastes sur son économie.
La Crimée territoire pro-russe a voté son indépendance il y a quelques mois et c’est ainsi joint à la Russie ce qui a créé de vives réactions internationalement mais qui a relevé le mécontentement des Ukrainiens qui craint de voir son pays fragmenté. Ce territoire considère plus avantageux socialement et économiquement de se rallié à la Russie puisque ses citoyens possèdent légitimement un passeport russe, les emplois sont plus nombreux et plus de la moitié de sa population parlent russe.
Les Russes qui ont déployé des troupes militaires pour appuyer les rebelles ont enfreint l’intégrité du territoire ukrainien et ont mis en péril les droits et libertés des citoyens. Les affrontements sont toujours accompagnés ou contrés par les armes ce qui accentue le nombre de victimes qui est au compte de plus de 2000 maintenant.
L’ONU qui joue, comme dans tous les cas, le rôle de médiatrice internationale possède seulement le pouvoir de permettre aux autres puissances planétaires de proposer des solutions puisque les droits humains des civiles sur le territoire ont été largement bafoués par les groupes armés qui revendiquent leurs intérêts par force militaire. La majorité des pays participant au conseil de sécurité ont conclu que la paix ne pourrait être établie tant que l’intégrité du territoire ne serait pas respectée.
Ainsi, l’Union Européenne appuyée par plusieurs autres États est venue à la conclusion que des sanctions économiques imposées à la Russie seraient essentielles au retrait complet de ses troupes. Par ailleurs, des forces armées américaines auraient été déployées pour soutenir la population puisque les derniers évènements ont plongé l’Ukraine dans une pauvreté et une instabilité politique sans précédent. Finalement, il y a eu accord de cessez-le-feu récemment d’une part et d’autres des camps opposés. Par contre, les dirigeants des troupes rebelles sont persuadés que le gouvernement utilise cette trêve pour renforcer leur troupe et pouvoir multiplier leurs attaques. Alors, ils enfreignent mutuellement l’accord donc, les coups de feu continus malheureusement de retentir à Kiev.
L’Espoir d’une résolution de conflit est peut-être plus près que l’on pense, si les troupes cessent véritablement le feu, le gouvernement a affirmé qu’il serait prêt à laisser davantage de liberté à l’est pro-russe. Cependant, pour empêcher la dissociation du pays causé par ses idéologies aux antipodes, l’Ukraine devrait possiblement restructurer ses régions afin que malgré un gouvernement qui est dit européen, les provinces géographiquement avantagées seraient ouvert aux échanges vers la Russie. Cette nouvelle constitution devrait également être indissoluble ce qui empêcherait tout autre possibilité de référendum. Par contre, chaque région pourrait élire directement un gouverneur ce qui atténuerait les mécontentements de la partie est du pays et ainsi favoriserait une démocratie. Indéniablement, la difficulté de trouver une résolution adéquate est proportionnelle à la complexité du conflit.

[guillaumeparr]

Cette analyse politique est très juste, cependant, certaines informations importantes ont été omises ou sont tout simplement erronées.
Premièrement, il n'est mentionné nulle part que l'ancien président ukrainien (Viktor Ianoukovitch) fut destitué étant donnée sa position favorisant un rapprochement avec l'Union européenne. Deuxièmement, le fait de dire que la Russie subit une "humiliation" suite à la guerre froide est injuste: le secrétaire général du parti communiste de l’Union soviétique, Mikhaïl Gorbatchev ne fit que se retirer graduellement de ce conflit qu'il jugeait nocif pour le développement économique et social de son pays, donc le terme d'humiliation dans ce contexte de Guerre froide est plutôt extrémiste. Troisièmement, une importante information concernant la frustration des russophones criméens liée à la création d'une loi sur les langues régionales prônant l'Ukrainien comme langue d'affichage partout à travers le pays n'est aucunement mentionnée dans cette analyse. Quatrième et dernièrement, les nombreuses sanctions économiques misent en places par les pays membres de l’Union européenne ainsi que d’autres états comme les États-Unis ainsi que le Canada, envers la Russie sont mentionnées, cependant il n’est point mentionné qu’en guise de réplique à ces sanctions, la Russie cessa de fournir l’Ukraine en gaz, ce qui fut très nocif pour l’économie ukrainienne.
De plus, au cours de la dernière semaine, le conflit a évolué : des mesures ont été mises en place par le gouvernement de Petro Porochenko, dont la fermeture temporaire de 2300 kilomètres de frontières russo-ukrainiennes, ainsi que la mise de l’avant d’un projet de réforme économique et sociale, prônant une éventuelle jonction de l’Ukraine à l’Union européenne d’ici six ans.

[justine brisson-mercure]

[justify]Le mardi 16 septembre 2014, Le Parlement de l’Ukraine et l’Union européenne ont signé l’accord de libre-échange à Bruxelles. Par conséquent, suite à cette signature, tout ne sait pas réglé en un claquement de doigts. Par exemples, les villes comme Kiev et Donetsk qui sont fusillées depuis plusieurs semaines, ainsi que l’Ukraine qui se trouve dans une impasse politique, les deux camps opposés (les pro-russes et les pro-européens) ont finalement décidé d’établir un accord de cessez-le-feu le 5 septembre. Par contre, depuis plus d’une semaine, les pro-russe ont transgressé à maintes reprises cette trêve en attaquant l’aéroport de Donetsk, qui est gérée par l’armée ukrainienne. Durant cette attaque, 34 volontaires russes ont été tués sur place. Présentement, pour essayer de diminuer la tension des deux groupes, le gouvernement russe et ukrainien essaie de façonner un accord qui permettrait d’assurer un approvisionnement en gaz pour l’Ukraine ainsi que pour l’Europe. Comme a dit Alexandre Novak, le ministre russe: « Nous avons préparé un plan pour l’hiver qui peut servir de base pour résoudre les problèmes ». Cependant, cet accord n’est toute fois pas certain, puisqu’il ne semble pas faire l’unanimité, principalement dû au prix du gaz. Présentement au tribunal de Stockholm, la question du coût du gaz est étudiée, mais le verdict final ne sera décidé que dans un an. Actuellement, une solution de secours est donc primordiale pour l’Ukraine.

[Mathildegoulet]

Étant donné la complexité du conflit, je crois que le texte présente une synthèse appropriée qui met bien en perspective l’état du conflit politique en Ukraine. Le texte a, par contre, omis de mentionner un fait important qui a eu des répercussions importantes sur le conflit a l’intérieur de l’État. En effet, le Boeing 777 de la Malaysia Airlines qui a été médiatisé suite à son écrasement, en juillet dernier, a envenimé les conflits et il a également montré à l’échelle internationale l’ampleur de la situation. Cet avion qui a abritait 298 personnes en majorité Néerlandais s’est échoué violemment en Ukraine près de la frontière russe. L’avion qui a été frappé par un missile est considéré par les ukrainiens comme acte terroriste des séparatistes pro-russes.

Si l’on considère les récents évènements, de nouvelles informations se sont ajoutés au conflit comme le résultat des élections sur lequel reposaient les espoirs d’une future résolution qui n’a pas eu l’effet escompté. Malheureusement, il semblerait que la victoire de Petro Porochenko n’a pas calmé les ardeurs des pro-russes qui revendiquent encore une plus grande association avec la Russie et qui multiplies leurs attaques armées dans les villes de Kiev et de Donetsk. Par ailleurs, un autre élément-clé qui a fait changer la dynamique du conflit non évoqué dans le texte est l’accord de libre-échange que l’Union Européenne a réussi à signer avec le gouvernement et ce malgré les tensions diplomatiques avec la Russie qui n’a toujours pas retiré ses soldats du territoire ukrainien. Ainsi, les pro-russes qui depuis que la Crimée appartient à la Russie multiplie leurs demandes d’indépendance ne cesse de fusiller l’armée ukrainienne qui ont enregistré dans les derniers jours leur plus grande perte.

[alexlegaultvallee]

Depuis la rédaction de notre texte portant sur le sujet du conflit en Ukraine, plusieurs nouvelles ont été écrites.  Valeriy Heletey, a affirmé que des pays de l’OTAN, sans nommer de nom, ont commencé à envoyer des armes pour éventuellement pouvoir stopper les attaques du président de la Russie, Vladimir Poutine. Par la suite, l’actuel président de l’Ukraine, Petr Porochenko, a essayé de négocier l’aide des États-Unis, mais le président Obama a décidé de limiter l’aide financière des Américains à 46 millions de dollars. De plus, M. Obama, a affirmé, qu’une «agression russe ou Europe (qui) rappelle une époque où les grandes nations piétinaient les petites pour poursuivre des ambitions territoriales», ce qui amène à dire que la Russie poursuit son combat pour des questions de territoire. Ensuite, le 19 septembre, l’armée pro-russe a décidé de retirer graduellement ces pièces d’artillerie, mais seulement dans les zones où l’Ukraine elle-même a déjà retiré elle aussi ses armes, pour laisser une zone sans arme de 30 km. Kiev et la rébellion ont continué de bombarder l’aéroport, car ils prétendent que l’aéroport leur appartient parce qu’elle est sur leur territoire, après ces attaques l’armée ukrainienne comptait 9 morts et 27 blessées. Dans un article, paru le 29 septembre, il est mentionné que le dimanche 28 septembre, il y a eu lieu d’un échange de prisonniers entre les Russes et les Ukrainiens et que selon le porte-parole des forces armées ukrainiennes Andriy Lysenko, affirme qu’il y a progrès.

[sandy.a]

La situation ukrainienne, toujours en feu
La situation en Ukraine n'est pas plus calme depuis la rédaction de votre « article ». Ce qui se passe est vraiment désolant. Depuis le début des affrontements, mi-avril, on peut compter au moins 3500 morts, ce qui est inacceptable. On peut voir dans l'actualité qu'il y a eu, le 29 septembre, une procédure pénale pour « génocide » dans l'est de l'Ukraine. «Des personnes non identifiées au sein du commandement politique et militaire de l'Ukraine, des forces armées ukrainiennes, de la Garde nationale et du ''Secteur droit'' [formation paramilitaire ultranationaliste ukrainienne] ont donné des ordres destinés à la destruction totale des citoyens russophones», c'est ce qu'affirma le porte parole du comité d'enquête, Vladimir Markine. On peut constater que la situation est assez mouvementée et ne s'est pas encore calmée malgré l'instauration d'une trêve et d'un cessez-le-feu etc. De plus l'aéroport de Donetsk ne cesse jamais d'être l'objet d'assaut des rebelles et cette attaque aura causé la mort de nombreux militaires. Mais l'Ukraine essaye tout de même de continuer à vivre malgré la situation et se lance dans les élections d'un nouveau parlement, pendant que des combats se poursuivent dans l'Est.


Je suis tout à fait d'accord avec toi surtout à la fin lorsque tu dis : « Indéniablement, la difficulté de trouver une résolution adéquate est proportionnelle à la complexité du conflit. »Par contre, je ne suis pas d'avis qu'il faudrait avoir un gouvernement pour chaque régions, car le pays ne sera pas aussi unis, même si dans les circonstances d'aujourd'hui, on remarque qu'il ne le sont pas vraiment, bref je trouve que si on mettrait ce plan en action il pourrait y arriver d'autres situations comme la Crimée. À part ça, je trouve que ton texte explique bien la situation de l'Ukraine dans les semaines passées.


Ce conflit, qui je l'espère se terminera bientôt, à fait au moins 3500 morts et à provoqué l'exode de plus de 600 000 civils.

[Kevin Deweys]

L’Ukraine : Un conflit interminable

L’analyse rédigée est en soit très pertinente et détaille sur plusieurs aspects cruciaux du problème conflictuel en Ukraine actuellement. Toutefois, il y a certains aspects qui auraient pu être précisé davantage comme le gouvernement ukrainien. En effet, l’ancien président Viktor Ianoukovitch fuit devant la pression des pro-européens et quitte son poste ; le parlement décide ainsi de destituer le président et d’entamer de nouvelles élections. Il aurait été aussi pertinent  de mentionné qu’une des grandes faiblesses de l’Ukraine est son gouvernement faible qui n’avantage en rien la situation actuelles des ukrainiens ; il n’y a aucune unification au sein de la population. D’ailleurs, par rapport au gouvernement, actuellement l’Ukraine lance une nouvelle campagne électorale pour voter un nouveau parlement au mois octobre.

D’actualité toujours, les rebelles font autant de ravage ; jusqu’à présent près de 3200 morts sont dénombrés au sein de la population ukrainienne.  Ils essaient encore de semer la terreur partout en Ukraine en essayant, entre autre, de prendre le contrôle de l’aéroport de Donetsk depuis la  fin septembre.  Depuis la fortification du ‘’cessez le feu’’, il a eu quelques mort cher militant ukrainien et les civils. Aussi, il y a toujours une centaine de soldat russe dans la partie Est de l’Ukraine. Il y a aussi, environ 20 000 soldats russes postés derrière les douanes du coté de la Russie. Toutefois, l’Ukraine ratifie son accord avec l’Europe pour créer une union prévue en 2020.

[Benjamin Vigneux]

Effectivement, la situation est loin d’être résolue. Chaque partie tient fermement son côté de la couverte et refuse malheureusement de laisser quoi que ce soit à l’autre. Depuis l’élection du nouveau président Petro Porochenko, plus pro-européen, un traité de libre-échange entre Kiev et L’Union européenne a été signé, ce qui est une petite victoire pour les ukrainiens voulant se rapprocher de l’Europe. Par contre, comme mentionné plus haut, la Crimée, en mars dernier, a fait pencher le balancier en faveur des pro-russes pendant une longue période.

Aussi, le 17 juillet dernier, un évènement fort déplorable a ravivé le conflit de manière très intense et inattendue. Le vol MH17 de Malaysia Airlines s’est écrasé dans l’est de L’Ukraine. Les deux partis se sont dépêchés de blâmer l’autre d’avoir abattu l’engin tout en niant toute responsabilité face à l’écrasement. Ce type de situation de fait qu’augmenter la complexité du conflit en le détournant de la question véritable dont il est question.

Dès qu’un évènement nous mène à croire à une éventuelle solution, une nouvelle situation survient et jette de nouveau le feu aux poudres. Il est donc, selon moi, difficile d’espérer une résolution réaliste et acceptable pour les deux partis dans un avenir proche

[Queen Badrie]

Depuis la remise de notre analyse sur le sujet du conflit en Ukraine, il y eu plusieurs nouvelles informations à propos du sujet. Premièrement, la hausse des violences durant le week-end passé intervient au moment où les militaires et rebelles tentent de mettre en place une zone tampon de 30 km de large tout au long de la ligne de front. La création de cette zone a fait 12 morts, dont neuf soldats.. Les neuf soldats sont morts sous les tirs d'artillerie des révoltés alors que trois civils ont également perdu la vie. Il s'agit du bilan le plus meurtrier dans l'est de l'Ukraine depuis l'instauration d'une trêve en début septembre. "Neuf soldats ont été tués et 27 blessés durant les dernières 24 heures", a déclaré le porte-parole militaire, Andriï Lyssenko, lors d'une conférence de presse à Kiev à la mi-journée. Quatre civils ont également été tués à Donetsk et à Makiïvka, au nord-ouest de Donetsk. Huit civils ont été blessés dans ces incidents causés par des tirs d'artillerie. Dans un décret publié jeudi 25 septembre, le président de l'Ukraine a ordonné à son gouvernement de se préparer à la fermeture temporaire des 2 300 kilomètres de frontière avec la Russie aux piétons et aux voitures. Espérons que la situation en Ukraine s'améliore bientôt.

[sirenalaura_]

Voilà bientôt 11 mois qui ont passés depuis le début de l’antagonisme ukrainien. La lutte des prorusses impliquant les indépendantistes de l’État en question fit découler un liste exhaustive de victimes tuées s’élevant au nombre de 3245 personnes, selon de dernier bilan de l’ONU. Malgré le «cessez-le-feu » émis ce 5 septembre entre l’Ukraine souverainiste et loyaliste, des tirs d’artillerie se poursuivaient toujours dans la région de Donetsk. Les forces militaires ukrainiennes affirment que deux de leurs soldats ont été tués et huit ont été blessés depuis la proclamation de la trêve dite « pacifique ». Pour garantir la paix, une zone tampon démilitarisée à 30 kilomètres des frontières s’est imposée mais elle s’est vue ineffective car il s’y trouvait encore des armes lourdes. Dans la nuit du vendredi au samedi 20 septembre, Petro Porochenko, président ukrainien et Vladimir Poutine, président russe, ont signé un mémorandum en neufs points dans le but (encore une fois) de protéger le traité de paix. Le 21 septembre, une manifestation atteignant des dizaines de milliers de personnes a clairement traduit le mécontentement le Moscou: ils protestaient contre les combats en Ukraine.

À peine six jours plus tard, Kiev et la capitale russe passent déjà à la question du conflit du contentieux gazier. Un accord s’est entendu indiquant « assurer l’approvisionnement jusqu’au printemps » partage Günther Oettinger, commissaire européen lors des négociations entre l’Union européenne, Moscou et Kiev.
Graduellement, l’État ukrainien arrivera certainement à une solution adéquate pour le but commun, en attendant que le mémorandum ne soit pas encore trahi…

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