Meilleure analyse du référendum en Écosse

[Admin]

LE RÉFÉRENDUM EN ÉCOSSE, UN COMBAT SANS VIOLENCE

L’Écosse est sur le point de vivre un point tournant de son histoire. Le 18 septembre prochain, aura lieu le référendum qui va déterminer l’avenir de celle-ci. Pour le moment, la lutte est très serrée et probablement que le résultat de jeudi prochain en surprendra sûrement plus d’un! En effet, selon le sondage qui a été publié jeudi soir dernier, soit le 11 septembre, 52% des électeurs seraient en défaveur de l’indépendance de l’Écosse. Les partisans en faveur de l’indépendance ne perdent tout de même pas espoir et espèrent un revirement de situation lors des élections.

La proposition de ce référendum est la base du conflit qui a lieu entre l’Écosse et la Grande-Bretagne. Si cette séparation a lieu, il s’agirait d’une grande perte pour la Grande-Bretagne. L’histoire entre ces deux nations dure depuis plus de 800 ans, mais elles se sont unies en 1707 grâce à l’acte d’Union pour éviter la concurrence. Cependant, il ne s’agit pas du premier référendum. Deux autres référendums ont eu lieu en 1979 et 1997 concernant les assemblées parlementaires, mais celui que l’Écosse vit présentement va beaucoup plus loin, il réclame l’indépendance. La campagne a été lancée en 2012, depuis, plus de 4,2 millions écossais se sont inscrits afin de participer au référendum. Il s’agit d’environ 97% des personnes qui sont éligibles pour participer au vote. L’Écosse est donc présentement séparée en deux clans, les Unionistes et les Indépendantistes. Les Indépendantistes, soutenus par le premier ministre écossais Alex Salmond, souhaitent plus que tout la séparation de l’Écosse, tandis que les Unionistes désirent rester fidèles à l’Empire Britannique. Ceux-ci sont soutenus par Blair McDougall, le directeur de campagne du non et David Cameron, le premier ministre britannique. Celui-ci est allé rendre visite aux Écossais cette semaine pour tenter de les convaincre une bonne fois pour toute de choisir le camp du non. Il a promis d’accorder plus de pouvoirs au parlement écossais. Cependant, il ne semble pas avoir convaincu beaucoup d’électeurs. Le conflit a lieu principalement en Écosse, où les deux partis tentent de faire valoir leurs arguments aux indécis et ils sembleraient que tous les moyens sont bons pour tenter de les convaincre. Mobilisations, concerts, débats à la télévision, appels téléphoniques, dépliants, affiches et plusieurs autres stratégies sont mises en œuvre afin de rallier la population à leur cause. Parmi ces stratégies, on retrouve la menace. Le clan du non, se sert des incertitudes de la population pour tenter de renverser les arguments du clan des oui. La Royal bank of Scotland menace de quitter sa position actuelle à Édimbourg et déménager à Londres, si le référendum est accepté. Les partisans du non soulèvent aussi les questions concernant l’économie comme par exemple, la hausse des produits alimentaires, ce qu’il adviendra des pensions de vieillesse, le conflit entourant la future monnaie, etc. L’économie semble être la plus grande crainte des Unionistes, comme elle l’était pour les Québécois lors de nos deux référendums. George Osborne, chancelier de l’Échiquier, qui équivaut au Ministre des Finances ici au Québec, a menacé les Écossais de ne pas leur accorder la monnaie britannique et ainsi les priver d’une source de stabilité dans leur économie. Cette annonce aura fait grimper dans les sondages le pourcentage de oui. En sommes, il n’y a pas que les Unionistes qui ont tenté d’influencer les indécis et de faire changer d’idée les Indépendantistes, les Britanniques ont aussi tenté quelques tentatives pour empêcher la séparation de l’Écosse. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles l’indépendance est demandée. Tout d’abord, les Écossais souhaitent devenir un État indépendant afin d’avoir accès à l’Union Européenne en tant que nation. De plus, un sentiment nationaliste s’est installé, car la culture écossaise diffère énormément de la culture anglaise, par exemple, leur accent est différent, la région est différente, la nourriture aussi tout comme plusieurs autres éléments culturels. Les opinions politiques et religieuses diffèrent également entre les deux nations. On pourrait donc croire que tout les séparent, mais ils sont pourtant liés.

En bref, les deux partis semblent avoir de bons arguments qui valent la peine d’être écoutés. Évidemment, pour le moment, il est difficile de prévoir avec certitude quel sera le parti gagnant, mais dans les deux cas, il y aura des déçus. Il ne reste qu’à patienter pour les résultats de ce référendum tant attendu qui changera à coup sûr l’avenir de l’Écosse et de la Grande-Bretagne.

[Émilie S]

Les indécis font pencher la balance, au soulagement de plusieurs

Le 18 septembre dernier, il y a eu rejet de l’indépendance lors du référendum écossais. Alex Salmond a alors annoncé qu’il ne renouvellera plus son mandat comme chef du SNP (scottish national party) ni comme premier ministre, lors de la conférence annuelle du 13 au 15 novembre, à Perth.

L’Union Européenne et l’OTAN ont déclaré leur soulagement face au résultat du référendum. L’OTAN avait peur que le Royaume-Uni perde son rôle de premier plan au sein de l'Alliance atlantique. De plus, l’UE ne voulait pas qu’il y ait une vague d’indépendantisme, car si l’Europe était menée par l’autodétermination, ça aurait créé des conflits dans le continent. Par ailleurs, inspirés par le référendum écossais, les catalans organiseront un référendum le 9 novembre prochain, malgré le désaccord de l’Espagne.
David Cameron avais promis d’accorder plus de pouvoirs à l’ensemble des pays du Royaume-Uni économiquement et socialement, lors de sa campagne. C’est ce qui est la principale cause du résultat référendaire. Cette décision entrainerait beaucoup de débats, afin de faire une révolution constitutionnelle. Malgré tout, ces réformes devraient être adoptées avant les élections de mai.
Aussi, les britanniques ont reçu des astuces pour leur campagne du NON de Jean Chrétien. Cameron s’était aussi inspiré de son discours de victoire, qui avait servi au rejet de l’indépendance québécoise.

Bref, le vote des indécis a été influencé par l’Angleterre et d’autres acteurs et a déçu les indépendantistes. Par contre, il en a soulagé plusieurs comme l’UE et l’OTAN, qui auraient peut-être eu de la difficulté à gérer leur territoire si l’Écosse avait dit OUI.

[sarah.mainville]

Les résultats sont tombés : l’Écosse ne se séparera pas de la Grande-Bretagne. Les partisans du clan du non l’ont remporté avec 55,30% des votes, tandis que les partisans du clan des oui n’ont obtenu que 44,70% des voix . Malgré le refus d’une indépendance, de nombreux changements auront tout de même lieu en Écosse. En effet, lors de la campagne référendaire, le premier ministre britannique, David Cameron, a fait des promesses qu’il doit désormais tenir puisque le non l’a emporté. Il doit faire face à la situation et préparer des réformes qui donneront plus de pouvoirs à Édimbourg et également plus d’autonomie politique à l’Écosse. Cependant, ces promesses n’ont pas suscité beaucoup de bonheur chez les autres politiciens britanniques. En bref, David Cameron est dans l’eau chaude et cela mettra certainement en péril sa réélection. De plus, suite à la défaite du référendum, le premier ministre écossais, Alex Salmond a annoncé sa démission, non seulement en tant que premier ministre, mais également en tant que chef de son parti le SNP. Par contre, il ne perd pas espoir pour le futur et annonce : « (…) Mais pour l'Écosse, la campagne (pour l'indépendance) continue et le rêve ne mourra jamais . » La population indépendantiste semble aussi être de cet avis. Lors d’une marche, qui a eu lieu le 27 septembre dernier, les Indépendantistes ont pris part à un rallye à travers le Holyrood Park à Édimbourg pour démontrer qu’ils n’abandonnaient pas le rêve d’indépendance. Il ne reste qu’à savoir quand aura lieu le prochain référendum.

[Clea F-L]

Une division interne en Écosse, mais toujours unie au Royaume-Uni

Le jeudi 18 septembre passé se déroulait le référendum pour l’indépendance de l’Écosse. Plus de 86 % des électeurs ont été votés le 18 septembre. Les sondages étaient très serrés entre le camp non et le camp oui avant le jour du vote, mais en découvrant les résultats le lendemain matin, tout le monde à pu découvrir que le non l’avait emporté avec 55,3 % des voies et 44,7 % des voies pour le oui. Le premier ministre écossais qui souhaitait l’indépendance de l’Écosse, Alex Salmond a annoncé sa démission suite à la défaite du référendum. Nicola Sturgeon veut succéder à Alex Salmond pour être première ministre de l’Écosse, elle se dit la mieux placée, elle était dans le camp oui et voulais l’indépendance. David Cameron, premier ministre britannique était très content des résultats. Il ne voulait pas voir l’Écosse quitter le Royaume-Uni. Durant la campagne, l’Écosse et le Royaume-Uni avaient pris des engagements et David Cameron à assurer à l’Écosse que ces engagements seront tenus. De nouveaux pouvoirs budgétaires et de taxation seront accordés à l'Écosse. Ce référendum était très important et très serré, mais ce référendum à aussi causer une grande division au sein de l’Écosse, ils doivent trouver un moyen de réunir l’Écosse encore.

[katy brousseau]

«La raison l’a finalement emporté sur la passion». Le Non gagna la course avec 55,3% des voix de l’Écosse tandis que le Oui n’eut que 44,7% des voix. Certains affirment que les Écossais ont voté avec leur raison, leur cerveau sans laisser place à leur passion, leur cœur. La réponse qui était le plus juste et approprié sur les domaines de l’économie, de la politique, de leur place dans l’union européenne, de leur attachement à la royauté et du social était le Non. Pour ces raisons, les Écossais ont décidé que l’Écosse allait et restera un pays attaché au Royaume-Uni. Évidemment, la clarté de la question facilita la tâche de la population, déplora le député libéral fédéral de l’Écosse . Étant donné que la population savait clairement qu’un oui entrainerai l’indépendance tandis qu’à l’inverse un non entrainerai l’union, qui persiste depuis déjà plus de 800 ans. Le clan des unioniste ravit de sa victoire savait que la partie était peut-être gagné, mais qu’il restait à tenir les promesses faites lors du référendum et que le gouvernement du Royaume-Uni devait les tenir. On peut donc affirmé que la victoire du non a été « juste assez forte pour ébranler les colonnes du temple à Londres, mais sans la séparation» . Le gouvernement du Royaume-Uni doit donc mettre en place certaines mesures pour garder l’Écosse dans son royaume, dont leur donné plus de pouvoirs. On peut, alors, affirmé que le jeudi 18 septembre 2014 fut une date tournante dans l’histoire des Écossais et qu’elle restera gravée dans leur mémoire à tout jamais.

[Wilson Adrien Infante]

Il  y a maintenant une semaine et demie qu’on sait que l’Écosse ne deviendra pas une nation. En effet, le camp de l’opposition a remporté la décision avec 55.42%, soit 1 914 187 des voix. Les résultats ont fait des déceptions et des soulagements à travers l’Écossse.
Pour débuter, tu as oublié le troisième groupe qui est celui des indécis. Le jour du référendum, il est certain qu’il y a juste deux choix, mais les manifestations dans les rues, les publicités, concerts, débats et plusieurs autres activités n’ont servi qu’à convaincre ce groupe. Ils ont été le groupe qui a eu le dernier mot et il est évident que la plupart des indécis qui ont voté ont préférés avoir une sûreté sur le futur de l’économie écossaise que de prendre le risque d’en vouloir plus et de finir avec moins. Les menaces de quitter l’Écosse de grands joueurs économiques comme la banque la Royal bank of Scotland ont clairement fait questionner les indépendantistes et ceux qui s’en allaient vers cette direction. Cependant, malgré la défaite du côté des indépendantistes, Londres va respecter sa promesse de donner plus de pouvoir et de flexibilité à l’Écosse. Pour finir, la population de l’Écosse a voté en faveur de l’union qui persiste depuis 800 ans et qui forme le Royaume-Uni qu’on connait et même si l’indépendance n’aura pas lieu il y aura des changements qui s’appliqueront pour avoir plus d’Écossais heureux

[audreyclement]

Depuis qu’on a fait l’analyse politique, le référendum en Écosse en eu lieu. Comme il est mentionné dans l’analyse précédente, le référendum a eu lieu le 18 septembre 2014 et les écossais ont voté contre l’indépendance de l’écosse.

Le non a obtenu 55,42% et 44,58 % pour le oui dont le taux de participation était de 84,6%. Le non a eu 1 914 187 votes, ils avaient besoin d’au moins 1 852 828 votes pour gagner le référendum, selon les chiffres officiel diffusé par la BBC. Ils ont remporté 31 des 32 circonscriptions dont Edimbourg, la capitale de l’Écosse, a 61,1% mais par contre à Glasgow, la plus grande ville de l’Écosse, c’est le oui qui la emporté a 53%. Suite au résultat du référendum, le premier ministre britannique, David Cameron, a fait la promesse de donner des nouveau pouvoirs à l’écosse mais aussi au Pays de Galles, Irlande du Nord et Angleterre. Alex Salmond, le chef des indépendantistes, déçu après avoir perdu le référendum mais il a déclaré qu’il acceptait le verdict et demande aux écossais de faire comme lui. Après le référendum le jeudi 18 septembre, Alex Salmond a annoncé qu’il allait démissionner, car son temps en tant que «Leader» était sur le point de se terminer. La démission de celui-ci se fera entendre dans 2 mois.

Même si le pourcentage était serré tout au long de la campagne, le non la remporté avec près de 10% de plus que le non. Donc l’écosse restera dans le Royaume-Uni.

[EmmanuelleD]

Le 18 Septembre dernier, à la grande surprise de plusieurs, le non est sorti gagnant du référendum d’Écosse. Bien que le non avait toujours gardé son avance avec un pourcentage de 52, le oui gardait espoir, car il suivait de proche avec 48 pourcents. On fondait énormément d’espoir sur les indécis comme on les nommait. Pourtant, les pourcentages sont restés serrés, le oui n’aura obtenu que 44,70 pourcents des voies. Le taux de participations a atteint un sommet en plusieurs décennies. Malgré que cette défaite pour le oui  laisse présager le retour d’un autre référendum dans le futur, M. Salmond a annoncé sa démission en novembre prochain. Il portait le mandat depuis 2007 et promettait un référendum depuis longtemps. Dans le malheur de certain d’autre se réjouisse. En effet, l’OTAN a fait une déclaration de presse pour partager son respect envers la décision du peuple écossais ainsi qu’envers le discours de M. Cameron. En effet, M. Cameron qui aurait songé de suivre les traces de son collègue de l’opposition en cas de victoire du oui, a partagé son bonheur face au dénouement de ce référendum. Il a d’ailleurs déclaré que dorénavant le Royaume-Uni pourrait aller de l’avant en tant qu’un pays uni. M. Cameron a d’ailleurs confirmé aux Écossais que les engagements pris durant la campagne seraient appliqués. Par exemple, il y aura de nouveaux pouvoirs accordés à l’Écosse, par rapport à la taxation et les budgets. Le camp du non a eu chaud, mais il sera tout de même le désire du peuple lors de ce référendum dernier.

Source :
- Radio-Canada, 19 Septembre 2014, L’Écosse a dit non au référendum
- La Presse, 18 Septembre 2014, Le petit guide du référendum Écossais
- Communiqué de Presse, 19 Septembre 2014, Déclaration du secrétaire général de l’OTAN sur le référendum en Écosse.
- La Presse, 28 Septembre 2014, Cameron aurait songé à démissionner en ca d’indépendance

[améliemorasse]

Il y a de cela environ une semaine et demi, le 18 septembre plus précisément, que les Écossais se sont retrouvés à faire un choix concernant l’indépendance de leur pays. C’est donc à 55,30% que le non à remporté contre 44,70% du oui, et ce, face à une participation massive de la population. Devant ses résultats, l’Écosse ne se séparera pas du Royaume-Uni, mais des changements sont à prévoir malgré tout. En effet, Dave Cameron à promis bien des choses à l’Écosse s’il en venait à un tel résultat. Ainsi, l’Écosse devrait être admissible à un plus grand pouvoir au sein du Royaume-Uni et donc à plus d’autonomie politique. Selon Alex Salmond, le leader du mouvement indépendantiste, l’Écosse se serait fait manipulé à tord concernant ses promesses fait par les politiciens britanniques qui tentent de revenir sur leur décision. Finalement, l’indépendance de l’Écosse aurait, selon l’UE, été un «cataclysme» pour les autres pays de l’Europe qui serait devenu ingouvernable. C’était la crainte de plusieurs autres pays et organismes qui ont été soulagés de ce résultat final. Vu ce référendum très serré, c’est une Écosse emplie de division d’idée qu’y est laissé encore pour un moment dans les mains du Royaume-Uni.

[chanellecompte]

Les résultats du référendum en Écosse se sont faits savoir vendredi matin le 19
septembre.  Ce sont les partisans du non qui ont eu une agréable surprise lorsqu'ils ont
appris que le non l'avait remporté à 55,42%, contre le oui qui a perdu a 44,58%.  Comme
promis, M. Cameron (premier ministre britannique) rappelle aux Écossais et aux trois
autres nations (l'Angleterre, le Pays-de-Galles et l'Irlande-du-Nord) qu'ils auront
prochainement une plus grande autonomie financière.  D'après M . Salmond, l'ancien
premier ministre de l'Écosse ,  ces promesses ne sont pas respectés comme prévu.  David
Cameron veut absolument que l'augmentation des pouvoirs en Écosse soit conforme à la
constitution du Royaume-Unis, ce qui ne fait pas l'unanimité. Le fait de transférer des
pouvoirs  à toutes les nations de la Grande-Bretagne risque d'étirer le temps de transfert
des pouvoirs.  M. Salmond pense que ces promesses ont eu un grand impact lors des
votes, surtout pour ceux qui ont votés en faveur du non.  Il pense que c'est ceux-ci qui
seront le plus déçus deces promesses mal respectées. De plus, Alistair Darling, chef de la
campagne "Better together", a bien peur que se référendum est eu des répercussions
importantes.  Les partisans du oui, déçus des résultats, ont probablement toujours un
grand sentiment d'appartenance envers l'Écosse et non envers la Grande-Bretagne.  Selon
M. Darling, il faudra travailler fort pour souder les indépendantistes aux unionistes.

[mr omar alami]

Bien évidement le camp des indécise ont fait pencher la balance. Voici comment ils ont réussies, car oui c'est vrai qu'une partie de l'Écosse voulaient son indépendance face à l'Angleterre mais pas avec les repaisses. Par exemple si le oui gagnerait l'Écosse n'aurait plus la monnaie britannique mais aucun pays ne pourrait lui faire pour l'instant confiance, car si l'Angleterre ne fait pas confiance à l'Écosse aucun pays ne voudrait s'aventurier dans une économie pas stable. Puisque le Non l'a emporté à peu près à 56% cela n'a pas seulement affecté l'Écosse car cela à aussi affecté le peuple catalan et le peuple québécois car si le oui aurait gagniez ils auraient peut faire précision face à leur gouvernement respectifs en leur donnant comme exemple le cas de l'Écosse. Cela s'est jouait le 18 septembre dernier, mais qui sait peut-être qu'un nouveau référendum va arriver.

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